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Le viol de Lucrèce de Britten : un livret d’opéra qui revisite les fondamentaux du genre

AUTHORS

  • Terrien Pascal

KEYWORDS

  • English opera
  • 20th century
  • Britten Benjamin
  • Great Britain
  • Allegory
  • Opéra anglais
  • Opéra de chambre
  • Allégorie
  • Drame social
  • Rapport texte/musique
  • Duncan Ronald
  • Ferrier Kathleen
  • Ansermet Ernest
  • Christie John
  • Glyndebourne
  • Crozier Eric
  • Purcell Henry
  • Didon et Énée
  • Obey André
  • Compagnie des Quinze
  • Casken John
  • Golem
  • Document type

    Journal articles

    Abstract

    Au sortir de la guerre, l’opéra est l’un des symboles socioculturels d’une civilisation qui a échoué devant la barbarie. Pourtant, il ne semble pas que le genre soit remis en question en Grande-Bretagne. Benjamin Britten, après la composition de Peter Grimes, souhaite revenir aux fondamentaux de ce mode d’expression. Son opéra de chambre Le viol de Lucrèce, sur un livret en vers de Ronald Duncan, représente une expérience originale dans le monde musical de cette époque. Qu’emprunte Ronald Duncan à André Obey (1892-1975), et au-delà du dramaturge français, à ses grands aînés, Tite-Live, Ovide ou Shakespeare ? Quelles sont les traces de ces influences mutuelles, de ces négociations entre « texte et musique » dans l’opéra ? Telles sont les questions auxquelles nous aimerions apporter sinon des réponses au moins des explications pour situer cette œuvre comme la première pierre d’une reconstruction d’un genre renouvelé.

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